Extrait :
Mais aller plus loin et réglementer le lieu de stockage pour mieux protéger les données est une solution à double tranchant. Et la France y est pour l’heure opposée. “Il est pourtant essentiel que les données des Européens soient traitées géographiquement, juridiquement dans l'Union européenne”, défend de son côté Bernard Benhamou, de l’Institut de la souveraineté numérique. Il plaide pour la “data residency” : “C’est une demande à la croisée des questions technologiques et juridiques. Cela demande un fonctionnement technologique basé sur un critère géographique. Car nous avons un meilleur contrôle juridique sur nos données quand elles sont sur le territoire.”
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